
Lori la Armenia
Paris

"Comme une valse entre rage et grâce, sa danse est subtile et captivante. Sans nuances inutiles, sans formes périlleusement gratuites, Lori Bagdassarian dite "La Armenia" transforme le corps et la danse à ce qui est nécessaire pour rester en haleine". Julian Demoraga
"Initiée au cœur du triangle d'or Jerez-Séville-Lebrija, c'est Mercedes Ruiz et Manuela Carpio qui l'ont propulsée sur le devant de la scène des tablaos andalous et elle a remporté le premier prix du concours Bulerias de José Galvan.
En 2008, elle rejoint la compagnie Irina Brook à Paris. Depuis, la rencontre entre le théâtre et la danse est fusionnelle et elle se révèle une actrice affirmée dans Pan et Quelque part la Mancha.
Dès lors, elle signe les chorégraphies des Amants de Séville de T.Petitgirard, Gariné, Opéra bouffe de Gérald Papasian, Carmen de Jacques Malaterre, de Kendji pour The Voice, Sangre de Michel Albertini, Tres Flamencas, Fiesta flamenca pour Casa Planète au Cirque Novels.
De ses propres créations Estampas, Cantame, Vivencias est présenté au Festival Arte Flamenco de Mont de Marsan et notamment joué au Zénith de Paris et à la Philharmonie de Yerevan et ouvre un dialogue musical entre duduk, violon tsigane et flamenco, en hommage à son histoire de vie qui a forgé sa personnalité flamenca.
Parmi ses nombreuses collaborations artistiques, on retiendra ses performances au sein du groupe Dj Click qui fusionne électro et flamenco, son rôle dans Les Garçons et Guillaume à table de Guillaume Gallienne, ses récentes collaborations avec Ruben Molina pour Nuit Flamenco ou encore le rôle principal de We Call it Flamenco pour Fever.
SPECTACLES

TIERRA
"Ma danse est ma terre. Je la sème de mes pas venus d'ailleurs, tu l'arroses de ton chant qui sublime notre exil. TIERRA est un duo qui incarne la recherche d'un paradis perdu devenu Flamenco."
CANTAME
" C'est ton chant que je danse "
Lori nous invite à une réunion flamenca héritée de l'ensemble des rituels flamencos à travers l'histoire.
Le Flamenco est le fruit d'un art universel qui voit le jour au milieu du XIXe siècle. Porté par les gitans et bercé en Andalousie il hérite d'un bagage culturel d'une densité unique qui engendre cet art aux dimensions sacrées dans lequel danser, chanter ou jouer devient transe !